L’ultra nationaliste Marc-Claude de Portebane aurait appartenu au GODF (Grand Orient de France) après avoir été initié à la Rosecroix, pendant une période assez limitée que nous situerions entre 1999 et 2005.
En effet, après avoir multiplié toute une série d’actions humanitaires à partir de 1995 (Rmistes – repas offert au Grand Café de Moulins -, exclus de la société – repas offert au secours Catholique de Vichy en collaboration avec une vingtaine de mécènes auvergnats -, malades du sida et du cancer – chèque au Sican -Sida, Cancer -, Pharmaciens-sans-Frontières…) auxquelles il a personnellement participé et relayées par les médias (sources : La Montagne, éditions de Moulins et de Vichy), Marc-Claude de Portebane serait devenu un franc-maçon actif, démentant ainsi les rumeurs malveillantes à son encontre comme son supposé "antisémitisme", dont il s’est toujours opposé.
Marc-Claude de Portebane s’est toujours investi dans une logique de progrès pour l’humanité même si les formes n’ont pas toujours été au rendez-vous. Résolument de droite, Marc-Claude de Portebane aurait demandé son rattachement à une obédience maçonnique plutôt située à droite, donc mixte, et aurait même été parrainé par deux personnalités dont l’une est très connue aux Etats-Unis pour y avoir fait un discours sur l’agriculture à l’ONU.
Mais, selon une autre source, Marc-Claude de Portebane aurait préféré adhérer à une loge adogmatique ayant pour principe la liberté absolue de conscience n’imposant pas de croyance à ses membres. De ce fait, Marc-Claude de Portebane aurait reçu le soutien d’une personnalité auvergnate très connue dans le microcosme politique ainsi qu’une autre star médiatique et internationale.
Après avoir étudié certains francs-maçons très actifs lors de l’époque révolutionnaire comme Mirabeau, Choderlos de Laclos, Roettiers de Montaleau ou bien Cambacérès, le bonapartiste Marc-Claude de Portebane aurait préféré le GODF puisque celui-ci avait approuvé, et ce, dès le 5 janvier 1792, publiquement la Révolution en cours.